
Casque – population naga
IndePorté lors d’événements rituels ou à l’occasion de batailles avec des villages ennemis, le casque et ses éléments décoratifs exprimaient le prestige des hommes et les exploits réalisés.

Diadème aux phénix – population miao
ChineCe diadème aux motifs significatifs tels que des représentations de phénix, d’oiseaux-lyres, de fleurs et de feuilles, est censé protéger la tête de la future mariée des forces maléfiques.

Coiffe-bonnet – population kayapó
BrésilChez les indiens kayapo du Brésil, chacun, selon ses origines, a le privilège de se parer de certaines plumes, et de les porter notamment pendant des rituels.

Coiffe royale d’homme – population yoruba
NigeriaOrnée d’une frange de perles, cette coiffe prestigieuse masque l’identité intérieure du roi et préserve ses sujets du pouvoir surnaturel de son regard.
Le monde en tête
la donation Antoine de Galbert
L'exposition
« En contemplant ma collection de coiffes, j’ai le sentiment jubilatoire de faire le tour du monde, d’accomplir une sorte de voyage immobile, d’aventure intérieure et mentale comme on en fait parfois du fond de son lit. En fait, cette collection reflète une certaine forme de romantisme, nourrie par les lectures des récits des grands voyageurs… » Antoine de Galbert
Pendant plus de 20 ans, Antoine de Galbert a constitué une collection de plus de 500 coiffes extra-européennes. Offerts au musée des Confluences en 2017, ces objets sont de véritables portes d’entrée vers une diversité culturelle inouïe.
Au sein de la plus vaste salle du musée, l’exposition vous invite à une déambulation libre, telle une promenade dans un jardin, autour d’une vingtaine de tables, regroupant les coiffes par thématique - plumes d’Amazonie, coiffes de mariages, symboles de pouvoir, etc. - avant d’en comprendre les usages.

Découvrez les 13 univers de l’exposition
Découvrez les 13 univers de l’exposition
13Du cheveu à la coiffe
Certaines coiffes les cachent, d’autres les valorisent, d’autres enfin les remplacent ou les utilisent comme une matière première porteuse de sens…
Une protection physique et symbolique
Compagne du quotidien, la coiffe protège la tête du soleil et des intempéries. Elle le fait souvent avec élégance, utilisant aussi bien des fibres tressées que du bois ou encore des écailles.
La coiffe comme étendard
Sur les marchés, au cours des fêtes saisonnières ou des cérémonies, on porte sa coiffe pour afficher fièrement son clan ou son appartenance ethnique.
Des objets de communication
Les coiffes permettent d’identifier au premier regard la place de chaque individu dans la société et de l’assigner à son rôle. Elles sont déterminantes pour l’organisation sociale d’une population.
La plume en Amazonie, un langage haut en couleur
Plusieurs mythes fondateurs amazoniens font un parallèle entre les plumes qui différencient les oiseaux et celles qui distinguent les humains entre eux. Chaque ethnie possède ses propres parures, déclinées à l’infini grâce à la grande variété des plumes disponibles.
Des objets de pouvoir
Confectionnées avec des matériaux rares et coûteux, décorées de motifs investis de puissance surnaturelle, les coiffes des individus qui détiennent le pouvoir établissent un lien avec les forces invisibles…
Valoriser l’esprit guerrier
Dans les contextes de conflits, ou lors de la chasse, les casques servent autant à protéger le guerrier qu’à valoriser les exploits qui font de lui un homme accompli.
Une passion africaine pour les couvre-chefs
Avant la colonisation, des monarques africains tout puissants cultivaient un art de l’apparat extraordinaire…
Toucher les dieux et les esprits
La diversité des coiffes reflète celle des croyances humaines. Des moines bouddhistes aux chamans, les couvre-chefs dotés d’un pouvoir magico-religieux font partie intégrante des rituels…
Révéler l’invisible
Dans de nombreuses sociétés, les coiffes prennent la forme de masques qui incarnent une entité spirituelle venue du monde des esprits ou des morts.
Rythmer la vie
Les cérémonies rituelles donnent souvent lieu à des danses. Chaque rituel a ses parures. Elles doivent être résistantes pour accompagner et amplifier les mouvements, somptueuses pour sublimer la danse.
Autour du mariage
Entre ostentation et dissimulation, les parures nuptiales portent des symboles de prospérité et de fécondité permettant aux jeunes filles d’endosser leur statut d’épouse et de future mère sous de bons augures.
Au croisement des cultures
Ces coiffes reflètent aussi bien les goûts et besoins d’un peuple, à un moment précis de son histoire que les influences extérieures. Ces métissages se matérialisent dans les formes ou les matériaux.
À vous de jouer
Cette coiffe mánda hàre (Océanie) signale l’accomplissement du hāroli, période d’isolement et d’apprentissage des :
Chez les Huli, les coiffes en cheveux sont un élément central des parures corporelles. Souvent teintes en rouge ou en noir, elles constituent des supports où l’on vient piquer quantité d’ornements tels que des plumes, des fleurs ou des carapaces de coléoptères. La coiffe mánda hàre signale l’accomplissement du hāroli, période d’isolement et d’apprentissage des hommes célibataires.
En Asie, les enfants, considérés comme plus vulnérables portent des bonnets ornés de motifs protecteurs :
En Asie, il existe une connexion forte entre le cosmos, la nature et la personne. Cette dernière doit dès lors se préserver des effets secondaires néfastes de cette interrelation. Les enfants considérés comme plus vulnérables portent au quotidien des bonnets ornés de motifs protecteurs.
En Namibie, chez les populations ovahimba et herero, les âges de la vie étaient traditionnellement signalés par une coiffure particulière. Pour les femmes ils existaient :
Succédant aux larges tresses de la petite enfance, trois coiffes féminines marquent les statuts d’enfant, de jeune fille en âge de se marier et de mère. Cette tradition existe également chez les hommes.
Les couleurs de ce chapeau dépendent de la situation maritale de la femme qui le porte
Ces chapeaux, dont les formes varient selon leur province d’origine, sont des marqueurs de la culture andine et révèlent l’appartenance ethnique des femmes qui les portent. Ils participent aux couleurs chatoyantes qui se déploient au sein des marchés, où les femmes, premières porteuses de signes distinctifs de leur communauté, viennent se regrouper et commercer.
Cette coiffe-bonnet est originaire du :
Ce bonnet de plumes est très prisé des indiens Kayapó du Brésil et le porter constitue un privilège rare. Il est lié à un récit mettant en scène le combat de deux personnages mythiques contre un aigle harpie géant. Les héros victorieux auraient créé la première coiffe à partir des plumes de l’oiseau.
Au Japon, ce chapeau a d’abord été porté par :
Les jingasa furent d'abord utilisés par les soldats à pieds avant d'être portés par les seigneurs de la classe militaire à l'occasion de leurs déplacements ou dans certaines circonstances peu officielles. Ils sont le plus souvent laqués en noir sur une forme en métal, en papier ou en vannerie.
Dans la région du Grassland, au Cameroun, le port du chapeau était autrefois réservé aux :
Aujourd’hui, les chefs, les dignitaires, les musiciens et les membres de sociétés secrètes portent ces bonnets de coton dont la forme varie en fonction du statut social de leur propriétaire.
Ces coiffes sont portées en Papouasie-Nouvelle-Guinée lors des danses de la cérémonie Rimbu Indali, censée conjurer la maladie et la sécheresse.
Durant de cette cérémonie, de nombreux cochons sont sacrifiés. Lors des danses qui ponctuent ces festivités, l’assistant, reconnaissable à sa coiffe, a pour rôle d’encourager et de diriger les danseurs.
Cette perruque africaine constituée de multiples mèches torsadées est portée par les femmes
Cette coiffe est portée par les guerriers Massaï appelés moran, qui ont traditionnellement pour rôle de protéger la communauté et les troupeaux. La coiffure irpapit lormoran était constituée de multiples mèches torsadées, enduites d’ocre et de graisse, parfois terminées par une ou plusieurs pointes de bois. Elles étaient agrémentées d’enfilades de perles offertes par les fiancées. De nos jours, les moran confectionnent des perruques en fils de coton et de laine ou en fibres végétales.
Ce masque dissimule toute forme humaine. Il est originaire du :
Au Nigeria, ce masque egugun représente l’esprit d’un ancêtre qui se manifeste auprès des vivants. Il peut apparaître quelques jours après le décès d’un membre de la famille ou pendant des cérémonies qui honorent la mémoire des défunts. Le masque danse alors en tournant sur lui-même, faisant virevolter ses bandes de tissus, au son des tambours. Le vent qu’il soulève est perçu comme bénéfique. En revanche, son contact direct peut être fatal aux vivants
Ces coiffes ornées de carapaces de cétoines, sont portées par les hommes initiés lors des grandes fêtes annuelles, smy, dédiées à :
Les coiffes ornées de carapaces de cétoines, sont portées par les hommes initiés lors des grandes fêtes annuelles, smy, dédiées à la fertilité. Ces fêtes sont également associées à l'initiation des jeunes garçons et aux percements du septum de leur nez.
Cette coiffe de mariage est portée par :
En Inde, le mariage est l’un des rites de passage les plus importants de l’hindouisme. Au Bengale-Occidental, le topor, chapeau conique agrémenté de pompons suspendus, distingue le marié avant et pendant toute la cérémonie. Il est offert par la belle-famille pour favoriser le bonheur du couple. La mariée arbore quant à elle un diadème, le mukut, avec un voile.
Ce chapeau en forme de raie est inspiré des casquettes :
Il reprend la forme générale et le motif des cocardes impériales germaniques. Objet métissé, il rappelle qu’entre 1884 et le début de la Première Guerre mondiale, l’Allemagne colonisait une partie du nord-est de la Nouvelle-Guinée.
Petite forme. Vous n’êtes pas encore au point sur les coiffes et leurs usages, une visite par l’exposition s’impose !
Pas mal. Venez faire un tour dans l’exposition pour faire un sans-faute la prochaine fois !
Bravo, on dirait que les coiffes n’ont pas de secret pour vous. Venez découvrir l’exposition, vous pourriez être surpris !
L'agenda
Evènements passé
Visite commentée
Découvrez cette incroyable collection de coiffes du monde entier en compagnie de nos médiateurs.
Voir les horaires et tarifs iciTour d’horizon des expositions temporaires
Une visite découverte originale pour embrasser toute la diversité des expositions temporaires et explorer les thématiques et collections ainsi mises à l’honneur.
Voir les horaires et tarifs iciVisite sur le pouce
Profitez d’une pause déjeuné pour découvrir l’exposition en compagnie de nos médiateurs.
Voir les horaires et tarifs iciVisite en famille « Comme un jeu d’enfants »
Au cœur de l’exposition, petits et grands s’associent pour voyager autour du monde sur les traces des animaux cachés dans les coiffes de la collection. Présence obligatoire d’un adulte pour les enfants -13 ans
Voir les horaires et tarifs iciGrand bal poussière
Pendant que le Cristal, grand hall d’entrée du musée résonne au rythme des danses, des balafons et des percussions du Burkina Faso, des visites insolites de l’exposition invitent le public à poser un nouveau regard sur la collection.
Voir les horaires et tarifs iciVisite insolite
Dans l’exposition Le monde en tête, la donation Antoine de Galbert, cette visite met à l’honneur sept coiffes présentées au côté des sept couvre-chefs contemporains qu’elles ont inspirées à Isabelle Grange, chapelière-modiste de l’Atelier-Musée du Chapeau. Une visite inédite menée à deux voix par un médiateur du musée et la créatrice. De 18h30 à 22h, […]
Voir les horaires et tarifs iciPortraits et regards d’ethnologues
Une sélection de films proposée en écho à l’exposition en collaboration avec le festival du film ethnographique Jean Rouch.
Voir les horaires et tarifs iciVisite en LSF
Visitez l’exposition en Langue des Signes Française.
Voir les horaires et tarifs iciHistoires de collection : rencontre avec Antoine de Galbert
Un temps d’échange exceptionnel avec le collectionneur et donateur Antoine de Galbert, en dialogue avec Hélène Lafont-Couturier, directrice du musée des Confluences.
Voir les horaires et tarifs iciGalerie d'images

Perruque d’initié, mánda hàre
Océanie, Papouasie-Nouvelle-Guinée, province d’Hela, population huli
Photo : Pierre-Olivier Deschamps / Agence VU'

Coussin de tête pour porter l’eau, indhoni (?)
Asie, Inde, État du Rajasthan, populations rabari ou banjara (?)
Photo : Pierre-Olivier Deschamps / Agence VU'

Diadème aux phénix, feng guan
Asie, Chine, province du Guizhou, ville-district de Kaili, population miao, groupe kra nong
Photo : Pierre-Olivier Deschamps / Agence VU'

Coiffe d’initié au bwami
Afrique, République démocratique du Congo, provinces du Sud-Kivu et du Maniema, population lega
Photo : Pierre-Olivier Deschamps / Agence VU'

Coiffe dari
Océanie, Australie, État du Queensland, détroit de Torres, île de Murray (Mer)
Photo : Pierre-Olivier Deschamps / Agence VU'

Cimier de coiffe, àkà-pari
Amérique du Sud, Brésil, État du Pará, population kayapó mekrãgnoti
Photo : Pierre-Olivier Deschamps / Agence VU'

Coiffe de moine, sha-ser ou tse sha, ou tagdroma, de l’ordre Gelukpa
Asie, aire de répartition du bouddhisme tibétain (Mongolie, Tibet, Népal, Bhoutan)
Photo : Pierre-Olivier Deschamps / Agence VU'

Masque, lukuta
Afrique, sud du Sénégal, nord de la Guinée, population bassari
Photo : Pierre-Olivier Deschamps / Agence VU'

Toque d’initiation masculine
Afrique, Ouganda, population gisu
Photo : Pierre-Olivier Deschamps / Agence VU'

Peigne de femme, sugu tinggi
Asie, Indonésie et Malaisie, île de Bornéo, population iban
Photo : Pierre-Olivier Deschamps / Agence VU'

Ornement de tête pour femme, pēue èi, pēue koiò
Océanie, Polynésie française, îles Marquises, île de Ua Pou
photo Pierre-Olivier Deschamps / Agence VU'

Coiffe à tête de tigre
Asie, Chine, province du Yunnan
photo Pierre-Olivier Deschamps / Agence VU'

Coiffe royale d’homme
Afrique, République démocratique du Congo, province du Kasaï, population kuba
photo Pierre-Olivier Deschamps / Agence VU'

Afrique, République démocratique du Congo, province du Kasaï, population kuba
photo Pierre-Olivier Deschamps / Agence VU'

Coiffe résille
Amérique du Sud, Pérou précolombien, culture chancay
photo Pierre-Olivier Deschamps / Agence VU'

Perruque d’initié, mánda hàre
Océanie, Papouasie-Nouvelle-Guinée, province d’Hela, population huli
Photo : Pierre-Olivier Deschamps / Agence VU'

Coussin de tête pour porter l’eau, indhoni (?)
Asie, Inde, État du Rajasthan, populations rabari ou banjara (?)
Photo : Pierre-Olivier Deschamps / Agence VU'

Diadème aux phénix, feng guan
Asie, Chine, province du Guizhou, ville-district de Kaili, population miao, groupe kra nong
Photo : Pierre-Olivier Deschamps / Agence VU'

Coiffe d’initié au bwami
Afrique, République démocratique du Congo, provinces du Sud-Kivu et du Maniema, population lega
Photo : Pierre-Olivier Deschamps / Agence VU'

Coiffe dari
Océanie, Australie, État du Queensland, détroit de Torres, île de Murray (Mer)
Photo : Pierre-Olivier Deschamps / Agence VU'

Cimier de coiffe, àkà-pari
Amérique du Sud, Brésil, État du Pará, population kayapó mekrãgnoti
Photo : Pierre-Olivier Deschamps / Agence VU'

Coiffe de moine, sha-ser ou tse sha, ou tagdroma, de l’ordre Gelukpa
Asie, aire de répartition du bouddhisme tibétain (Mongolie, Tibet, Népal, Bhoutan)
Photo : Pierre-Olivier Deschamps / Agence VU'

Masque, lukuta
Afrique, sud du Sénégal, nord de la Guinée, population bassari
Photo : Pierre-Olivier Deschamps / Agence VU'

Toque d’initiation masculine
Afrique, Ouganda, population gisu
Photo : Pierre-Olivier Deschamps / Agence VU'

Peigne de femme, sugu tinggi
Asie, Indonésie et Malaisie, île de Bornéo, population iban
Photo : Pierre-Olivier Deschamps / Agence VU'

Ornement de tête pour femme, pēue èi, pēue koiò
Océanie, Polynésie française, îles Marquises, île de Ua Pou
photo Pierre-Olivier Deschamps / Agence VU'

Coiffe à tête de tigre
Asie, Chine, province du Yunnan
photo Pierre-Olivier Deschamps / Agence VU'

Coiffe royale d’homme
Afrique, République démocratique du Congo, province du Kasaï, population kuba
photo Pierre-Olivier Deschamps / Agence VU'

Afrique, République démocratique du Congo, province du Kasaï, population kuba
photo Pierre-Olivier Deschamps / Agence VU'

Coiffe résille
Amérique du Sud, Pérou précolombien, culture chancay
photo Pierre-Olivier Deschamps / Agence VU'

Catalogue d'exposition
Le monde en tête. La donation des coiffes Antoine de Galbert
Le catalogue dévoile la donation Antoine de Galbert. D’un continent à l’autre, ces cinq cents coiffes variées, étonnantes, spectaculaires se révèlent.
Horaires
Du mardi au vendredi de 11h à 19h
Samedi, dimanche et jours fériés de 10h à 19h
Fermetures
Le lundi et les 1er janvier, 1er mai et 25 décembre
Fermeture des guichets à 18h15
Expositions permanentes et temporaires : billet unique, valable à la journée.
En raison de travaux d’aménagement du parcours, l’exposition Espèces sera fermée du 26 août au 9 septembre. Nous vous remercions de votre compréhension.
- Adulte tarif plein— 9 €
- Adulte tarif réduit— 6 €
- Adulte à partir de 17h— 6 €
- Jeune actif 18-25 ans— 5 €
- Enfants -18 ans— Gratuit
- Étudiants -26 ans— Gratuit
Musée des Confluences
86 quai Perrache, Lyon 2e
- Entrée principale (Cristal) : visiteurs individuels et groupes en visite libre
- Entrée Groupes (à droite de l’escalier principal) : groupes avec médiation, visiteurs à mobilité réduite, accès familles avec poussettes
- Entrée Auditorium (côté Rhône) : accès direct lors des spectacles, conférences et manifestations. Ouvertures des portes du bâtiment 1h avant la représentation. Ouverture de la salle 20 minutes avant la représentation.
Arrêt « musée des Confluences »
Tramway— T1
Bus— C7, C10, 15, 63
Voiture— Parking musée des Confluences
Pensez à valider votre ticket de parking au musée !
Parking Tony Garnier
Covoiturer ! Rendez-vous sur le site covoiturage-grandlyon.com
Vélov'— Station sur le parvis du musée